jeudi 20 septembre 2007

Mon chez moi


Premièrement, quand je suis arrivé, ça ne sentait pas bon. C'est beaucoup mieux maintenant que j'ai fait fonctionner l'air climatisé à fond la caisse, aéré un peu - mais pas trop parce que c'est beaucoup trop humide dehors - lavé le frigo et passé la balayeuse.

C'est assez grand, plus que ma chambre de résidence que j'avais à Sherbrooke.
Salle de bain, avec bain-douche, pour lequel ils m'avaient donné un rideau, encore dans son sac, trop court. J'ai du le rallonger avec des ficelles. Elle est entièrement faite de plastique, la salle de bain, comme si elle avait été faite d'un bloc puis encastrée dans le mur. Ma marraine aimerait, elle pourrait la nettoyer avec un compresseur à eau!

La pièce principale est de grandeur raisonnable; une télé avec des postes uniquement en japonais, un lit - pratiquement de camp - pour lequel ils donnent des matelas à ajouter dessus - très pratique quand on a de la visite - un bureau règlementaire, un frigo - qui était fermé et débranché depuis trop longtemps, avec de la moisissure verte à l'intérieur, c'est réglé maintenant - un micro-onde - là, je dois ouvrire une parenthèse: (

Le micro-onde est trans-genre. Oui, c'est un four aussi! Il y a un élément chauffant qui permettent de faire des toasts cuites à point en 6 minutes - une éternité qui permet de s'habiller pendant ce temps. J'ai découvert ça suite à une discussion sur le fait qu'on ne pouvait pas faire de gâteau.

Fermons la parenthèse: ) - une cuisine. C'est là que le bât blesse. La cuisine se résume à un lavabo et un bruleur au propane, sur lequel je faisais cuire mes toast avec 2 fourchettes (merci maman!). Pas d'autre espace. J'essais généralement de mettre ma planche à découper de travers pour avoir de l'espace où travailler, mais n'empêche que je dois tout nettoyer à mesure.

Et un garde-robe dans lequel je pourrais vivre tellement il est grand.

Vous trouverez des photos sur Picasa.

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