mardi 25 septembre 2007
Hôpital
Je suis allé à l'hôpital. Ne vous inquiétez pas, tout va bien. Ce n'est qu'une visite de routine.
Les compagnies japonaise qui ont plus de XXX employés (nombre inconnu) doivent payer pour faire passer un test de routine à tous leurs employés, une fois par an. Lorsque c'est le cas, pour Asahi Kasei en tous cas, des médecins viennent sur place pour faire les examens. Toutefois, comme ce n'est pas la "saison", nous (8 gars) sommes allé à l'hôpital.
De l'extérieur, rien de particulier. À l'intérieur: tout ou presque est en tapis! On doit enlever nos chaussures, et mettre des "slippers"! C'était comique, ils nous traitaient à la chaîne. D'abord, pesée et mesure (la mesure se fait par un truc automatique qui te descend sur la tête!), puis prise de la pression, ensuite test d'ouïe dans une chambre insonorisée minuscule et finalement test de vue, avec une machine qui simule l'alphabet qu'on a habituellement sur les murs: on y voit un cercle, fermé ou non, et on doit appuyer sur un bouton pour dire dans quelle direction est l'ouverture. Ça, c'était la première pièce. La second pièce, je me couche sur le lit, ouvre ma chemise, puis l'infimière me fou plein de suces sur le torse et des pinces aux chevilles et aux poignets. Apparement un électrocardiogramme ou quelque chose de semblable. En tous cas ça a imprimé un tracé de beep... beep... beeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeep. Sans le beeeeeeeeeeeeeeeeeeeeep. Troisième salle, rayons-x du torse. Quatrième station, prise de sang, dans 3 petites éprouvettes. Les infirmières ne portent pas de gants! Troublant. Les chauffeurs de métro portent des gants, mais pas les infirmières qui font des prises de sang. Cinquième et dernière étape, oscultation du coeur/système respiratoire par un médecin - expéditif.
Short and sweet.
Les infirmières ont les souliers blancs de toutes les infirmières du monde (je crois) et un "sarrau-tablier" fleuri bleu pâle et jaune pâle.
En devrait avoir une traduction anglaise des résultats au cours de la semaine. Parce que évidemment, tous les formulaires étaient en japonais seulement et personne ne parlait anglais (à part une infirmière qui a dit 3 mots).
Je dis ça comme ça, mais j'espère ne pas avoir à retourner à l'hôpital.
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